Gustave Le Gray
Étude d'arbre vers 1856.
Le Pavé de Chailly, vers 1853.
Étude d'arbre vers 1856.
La charrette, vers 1850.
Chênes au Bas-Bréau, vers 1860.
Étude d'arbre vers 1855.
Étude d'arbre vers 1855.
Gustave Le Gray est né en 1820 à Villiers-le-Bel, il meurt en 1884 au Caire. Il est l'auteur de la première photographie officielle d’un chef de l’État français, Louis-Napoléon Bonaparte, avant de devenir le photographe officiel de la famille impériale. D’abord destiné à devenir clerc de notaire, Le Gray réussit à convaincre sa famille, des commerçants aisés, que son avenir est dans la peinture. En 1842, il suit l’enseignement du peintre Paul Delaroche et rencontre le photographe Charles Nègre. En 1850, il met au point le négatif sur verre au collodion humide et fonde en 1851 la Société héliographique (qui deviendra ensuite la Société française de photographie). Il est un des cinq photographes sélectionnés par la commission des monuments historiques, pour accomplir ce qui sera nommé la Mission héliographique. Ses œuvres les plus célèbres datent de 1856 à 1858. Sur les côtes normande, méditerranéenne et bretonne, il réalise une série de Marines. En 1860, il part vers l'orient en compagnie de l'écrivain Alexandre Dumas. À peine le voyage commencé, la prise de Palerme par Giuseppe Garibaldi décide Dumas à rejoindre les révolutionnaires et offre à Le Gray l’occasion d’illustrer les désastres provoqués par les bombardements de l’armée sicilienne. En 1864, il quitte l’Europe et s’installe au Caire où il vit de cours de dessins sous la protection d’Ismaïl Pacha.
Gustave le Gray, autoportrait, vers 1850-1852.
Marville
La mare à Dagneau, 1854.
Étude d'arbres et rochers, 1854.
Étude d'arbres, 1854.
Étude d'arbres et rochers, 1854.
Corot et Diaz assis sur les rochers, 1854.
Charles-François Bossu, dit Marville, est né en 1813 à Paris, ville où il est mort en 1879. Marville débute comme peintre-graveur, il publie ses premières photographies d'architecture à partir de 1851. En 1862, il est « Photographe de la Ville de Paris ». Il photographie alors les nouveaux aménagements de la ville et les grands chantiers de restauration menés par Viollet-le-Duc et prend des centaines de clichés des quartiers à démolir. Il publie en 1865 l'Album du Vieux-Paris, commande du service des Travaux historiques qui vient d'être créé. Cet album rassemble des vues des vieilles rues de Paris avant leur destruction lors des transformations de la capitale sous le Second Empire.
Marville, autoportrait, vers 1861.
Eugène Cuvelier
Étude d'arbre sous la brume du matin, vers 1860.
Le Pavé de Chailly, vers 1860.
Les bouleaux sur le sable, vers 1860.
Étude d'arbres, vers 1860.
Le plateau de Belle-Croix, vers 1860.
Gorges de Franchard, vers 1860.
Le Clovis, plateau de Belle-Croix, vers 1860.
Étude d'arbre, vers 1860.
Le chêne Pharamond, Georges Balagny.
Achille Quinet (1831-1907) imprimeur-lithographe et photographe,
membre de la Société française de photographie, décédé à Cély-en-Bière.
Achille Quinet.
Achille Quinet.
Alphonse Jeanrenaud (1835-1895), membre de la Société française de photographie en 1855.
Alphonse Jeanrenaud.
Karl Bodmer, né à Zurich en 1809 et mort à Barbizon en 1893, peintre, graveur et photographe.
Mare non identifiée, Paul de Gaillard, vers 1865.
Chêne sur le Plateau de Belle-Croix, anonyme.
Daguerréotype anonyme.
Paul Cézanne en forêt, peut-être lors de son dernier séjour à Fontainebleau
lors de l’été 1905 où il rejoint sa femme et son fils.
Eugène Cuvelier est né en 1837 à Arras dans le Nord-Pas-de-Calais, il s'éteint en 1900 à Thomery. Son père était un marchand d'huile et de sucre mais aussi un artiste peintre et photographe amateur, membre du cercle de Barbizon, ami de Corot et de Delacroix. Cuvelier était aussi un peintre, élève de Constant Dutilleux. En 1859, il épouse Louise, fille du célèbre couple d'aubergiste Ganne à Barbizon. Camille Corot fut son témoin, Jean-François Millet et Théodore Rousseau, garçons d'honneur. Les œuvres d'Eugène Cuvelier furent redécouvertes au début des années 1980.
Alexandre Famin
La Mare à Dagneau, vers 1870.
Étude d'arbre, vers 1870.
Une route dans les bois, vers 1875.
Étude d'arbre, vers 1870.
Autoportrait dans la forêt, vers 1870.
Autoportrait devant le chêne de Bodmer, vers 1870.
Autoportrait dans la forêt, vers 1870.
Autoportrait devant le chêne de Bodmer, vers 1870.
Constant Alexandre Famin est né à Paris en 1827, il meurt en 1888. Ce photographe est connu pour ses scènes rurales, des études d'arbres et animalières, dont les épreuves sont destinées aux peintres et servent de modèles. Il est parfois confondu avec le photographe et architecte Charles Famin ainsi qu'avec un peintre du même nom.
William Drooke Harrison
William Drooke Harrison (?-1892). On sait peu de choses sur ce photographe qui fut correspondant en France pour un journal anglais. Adhérent à la Société française de photographie dès 1860, il habitait Courbevoie où il avait un atelier, il est enterré dans le cimetière de cette ville de la banlieue parisienne. Il habita Barbizon de 1867 à 1871, dans la maison du Placiaut construite par le peintre Charles Jacque, (près de l’actuel hôtel du Bas-Bréau). Il vendit cette maison au peintre Félix Ziem, lui-même photographe amateur. Son cliché « Millet sur son lit de mort » de 1875 n’a jamais été retrouvé. Harrison fut l'un des précurseurs de la photographie sur plaques sèches, conservant longtemps la faculté d'être exposées à la lumière, contrairement aux plaques dites humides, car enduites au collodion.
Le chêne Pharamond, Georges Balagny.
Achille Quinet (1831-1907) imprimeur-lithographe et photographe,
membre de la Société française de photographie, décédé à Cély-en-Bière.
Achille Quinet.
Achille Quinet.
Alphonse Jeanrenaud (1835-1895), membre de la Société française de photographie en 1855.
Alphonse Jeanrenaud.
Karl Bodmer, né à Zurich en 1809 et mort à Barbizon en 1893, peintre, graveur et photographe.
Mare non identifiée, Paul de Gaillard, vers 1865.
Chêne sur le Plateau de Belle-Croix, anonyme.
Daguerréotype anonyme.
Paul Cézanne en forêt, peut-être lors de son dernier séjour à Fontainebleau
lors de l’été 1905 où il rejoint sa femme et son fils.
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